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Boris est un prétexte pour parler d'économie.

Par • Les chroniques d'ici et d'ailleurs • Dimanche 12/07/2009 • 0 commentaires • Version imprimable

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Qu'aurait-il écrit ?




Cinquante ans que Boris Vian a rendu son dernier soupir. Aurait-il été préoccupé par les questions environnementales ? Qu'aurait-il fait ? Aurait-il écrit, "pamphlèté", chanté sur la fonte des glaces, le blues des ours et des Inuits, les excès de la consommation et la disparition des oiseaux en France[1]





? Mais est-ce donc si important la disparition de ces volatiles ? Qu'on arrête de nous seriner des mauvaises nouvelles de fin du monde ? La crise, l'emploi, ça, ce sont des choses sérieuses pour des gens sérieux. Le monde n'avance pas avec les gens qui s'apitoient sur le sort d'une petite fleur ou d'un piaf. Parlons d'économie, la science qui mène le monde, la science qui prévoit tout. Il faut de l'économique clament le ch ur des patrons wallons[2]