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Nice ne sent ni la rose, ni le mimosa.

Par • Les chroniques d'ici et d'ailleurs • Samedi 24/05/2008 • 0 commentaires • Version imprimable

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Bon, je le confesse. J'ai sacrifié à une activité que j'abhorre le plus : le tourisme. Là, au moment où je vous écris, je suis à Nice. Je n'y suis pas arrivé par avion, mais par TGV. (Pour ceux qui suivent ces chroniques, ce fut le résultat d'un concours sur le silence et de circonstance). Ce texte est le premier d'une série ayant un lien avec le midi de la France.



Ha, Nice ! La qui fit rêver les Anglais et tant d'autres immigrés moins favorisés. Le Nice chicos et le Nice gravos.



Nice, une qui sent l'urine, (l'autre rime eut été trop facile) alors qu'une armée d'ouvriers municipaux lave quotidiennement la à grandes eaux (recyclées ?). Cette nuit, je me suis levé à trois heures du matin pour discuter avec un employé qui (presque) chaque jour que dieu fait, ramasse à coups de lance d'incendie les détritus. A chaque fois, il rassemble des montagnes...